Hors sujet!

Vous l'aurez compris. Je ne vais pas vous parler de TIC[E], ni d'apprentissage des langues, ni même d'éducation; car aujourd"hui, je suis en deuil. Bon, j'exagère, et la mort n'est sans doute pas un sujet propice à cela, mais c'est ainsi que je me sens depuis hier soir, 23h07, lorsque j'ai lu les dernières lignes du livre de Ken Follett: World without end. Comme quoi, 1237 pages, c'est vraiment trop court!

Pour ceux qui ne le savent pas, je suis une lectrice passionnée. Mon choix de livre est essentiellement guidé par deux principes: j'ai horreur des livres trop courts (moins de 400 pages) qui me laissent un sentiment d'incomplétude et j'adore les romans historiques (notamment ceux qui traitent du moyen-âge). J'avais déjà lu The pillars of the earth de Ken Follett et j'avais, comme beaucoup de lecteurs, A-DO-RE! C'était avant la sortie de sa "suite", World without end.

Alors c'est vrai: cette formidable odyssée épique, que son auteur a mis 16 ans à inventer et 3 à écrire, est un gros morceau, lourd et peu pratique (pas facile à tenir un livre de plus de 1200 pages!); mais, que ne donnerait-on pas pour être de retour à Kingsbridge...?

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